Pour bien finir l’an­née, Exit Mag vous a sélec­tionné ses 10 plus beaux films sortis au cinéma en 2020. A rattra­per en VOD, dès main­te­nant ou inces­sam­ment sous peu, pour conti­nuer de parta­ger le meilleur du cinéma, même à la maison. Indé, comé­die, polar, film d’au­teur(e) ou thril­ler holly­woo­dien, même si l’an­née fut estro­piée, il y en a pour tous les goûts et… tous les pays. Enjoy !

  • The King of Staten Island de Judd Apatow (Etats-Unis)

Une comé­die fami­liale et un beau portrait de l’Amé­rique des déclas­sés d’aujourd’­hui, avec Steve Buscemi et la révé­la­tion Pete David­son, co-auteur du film. Lire la critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD.

  • Effa­cer l’his­to­rique de Benoît Delé­pine et Gustave Kervern (France)

Frac­ture sociale et frac­ture numé­rique dans une comé­die acide qui carbure à la noir­ceur. L’ul­tra-moderne soli­tude pous­sée jusqu’à l’ab­surde. Lire la critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD.

Film Ondine
  • Ondine de Chris­tian Petzold (Alle­magne)

Un conte de fées étrange d’aujourd’­hui pour conju­rer la trahi­son amou­reuse, avec la sublime Paula Beer. Pas un film facile, mais notre film d’amour de l’an­née. Lire la critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD.

  • Les Siffleurs de Corne­liu Porum­boiu (Rouma­nie)

Le meilleur cinéaste de la Nouvelle Vague roumaine lorgne vers le polar holly­woo­dien en gardant la froi­deur pince-sans-rire de la comé­die à la roumaine pour mieux moquer la corrup­tion et les tenta­tions dicta­to­riales de son pays. Une varia­tion autour de son plus grand film, Poli­cier, adjec­tif. Dispo­nible en VOD et sur OCS.

  • Scan­dale de Jay Roach (Etats-Unis)

Un pano­­rama édifiant des coulisses des grands médias à partir de l’af­faire #MeToo qui avait secoué Fox News. Une radio­gra­phie docu­men­tée et hale­tante du harcè­le­ment jusqu’au malaise, dans un ballet d’ac­teurs de haut vol. Aussi diver­tis­sant qu’ins­truc­tif. Lire la critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD et sur Canal +.

  • La Fille au brace­let de Stéphane Demous­tier (France)

Pour son troi­sième film, Stéphane Demous­tier invente un fait divers de toute pièce pour mieux radio­gra­phier l’ado­les­cence d’aujourd’­hui et ses zones d’ombre dans un portrait de famille singu­lier dépas­sant le seul film de procès. Dispo­nible en VOD.

  • Une mère incroyable de Franco Lolli (Colom­bie)

Cadré et soigné (la lumière y est toujours belle), Une mère incroyable évite tout misé­­ra­­bi­­lisme en renouant avec la vita­­lité réaliste qui fait le meilleur du cinéma sud-améri­­cain. Un magni­­fique portrait de femme dans la Colom­­bie d’aujourd’­­hui. Lire notre critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD.

  • Les Filles du docteur March de Greta Gerwig (Etats-Unis)

La meilleure adap­ta­tion du clas­sique anglo-saxon rendue vivante et actuelle entre amours secrètes, révé­lées ou diffé­rées des soeurs se parta­geant pour notre plus grand bonheur Thimo­thée Chala­met et Louis Garrel. Miam. Lire la critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD et sur OCS.

L'ombre de Staline
  • L’Ombre de Staline d’Agniezska Holland (Russie-Ukraine-Grande-Bretagne)

Un thril­ler histo­rique hale­tant levant le voile sur l’Ho­lo­mo­dor, l’ex­ter­mi­na­tion par la faim du régime stali­nien. Par Agnieszka Holland, fille de jour­na­listes. Lire notre critique complète << ici >>. Dispo­nible en VOD.

Laure Calamy dans Antoinette dans les Cévennes
  • Antoi­nette dans les Cévennes de Caro­line Vignal (France)

Une comé­die du chemi­ne­ment amou­reux, avec la plus irré­sis­tible des actrices françaises, Laure Calamy, et un succès public à la clé. Le premier film de l’an­née. Lire notre critique complète << ici >>. Bien­tôt dispo­nible en VOD.