1. Dans un jardin croix-rous­sien avec le Quatuor Debussy

Toujours aussi géné­reux, popu­laire et exigeant, le Quatuor Debussy invite pour la quatrième année les Lyon­nais à fêter la musique dans le jardin de leur rési­dence située à l’Ins­ti­tut natio­nal supé­rieur du profes­so­rat et de l’édu­ca­tion, sur le boule­vard de la Croix-Rousse. Aux côtés du quatuor lui-même, vous pour­rez écou­ter le Quatuor Héméra, formé par les Debussy, le duo 1 air 2 violons, ou le chœur Les Groix-Rous­siens. L’oc­ca­sion par-
faite de passer la Fête de la musique au frais et en bonne compa­gnie.

À 17 h, dans les jardins de l’Inspé, Lyon 4e . Repli dans la salle de l’Inspe en cas de mauvais temps. Entrée libre. Quatuor Debussy

2. Sur les quais de Saône avec Le Sonic.

C’est une nouvelle qui va émous­tiller tous les fans de post-punk : pour la Fête de la musique, Le Sonic orga­nise un concert, le premier depuis un an et surtout, peut-être, le seul et unique avant la rentrée de septembre. Au pro-
gramme, du rock lyon­nais sombre, mélan­co­lique et furieux comme
la pop dépres­sive et éner­vée des nanas de Venin Carmin qui, promis, vous donnera envie de vous tortiller sur votre chaise. Et en plus, il y aura de la place pour tout le monde puisque l’évé­ne­ment aura lieu sur les quais, à côté de la péniche du Sonic.

De 17 h à 22 h 45, sur le quai des Étroits, Lyon 5e. Gratuit. Le Sonic

3. Aux Subsis­tances avec la jeune pop lyon­naise.

Qu’on se le dise, la musique lyon­naise est bonne, en parti­cu­lier la pop. Pour décou­vrir la nouvelle géné­ra­tion de musi­ciens, c’est aux Subsis­tances que ça se passe. La soirée démar­rera en douceur, avec l’élec­tro pop de Wugo, et les chan­sons françaises pop et jazzy deKCIDY, avant de s’em­bal­ler un peu avec le rock foutraque de John­nie Carwash, puis de décol­ler carré­ment avec la techno atmo­sphé­rique de Soma­ti­cae. Un voyage musi­cal très lyon­nais qui devrait (enfin) débor­der sur la nuit.


À partir de 18 h 15, aux Subsis­tances, Lyon 1er. Entrée libre dans la limite des places dispo­nibles. Les Subs