C’est la troi­sième édition d’Airt de famille, le festi­val artis­tique qui prône l’éco­no­mie circu­laire parti­ci­pa­tive. Vous y avez peut-être vous-mêmes contri­bué en leur prêtant des objets en février dernier. Une fois ces objets entre les mains des artistes, ces derniers les custo­misent et leur apportent une seconde vie. Ils sont ensuite incor­po­rés dans une plus vaste scéno­gra­phie. Une course contre la montre de cinq semaines a alors commencé pour les artistes : leur objec­tif était de redon­ner vie à la gale­rie des Terreaux et à chaque salle qui la compose.

La gale­rie des Terreaux, un air de nouveauté

Un airt de famille dans la gale­rie des Terreaux rouverte pour l’oc­ca­sion. (photo Pierre Ferran­dis)

Quelque 400 objets collec­tés, 31 artistes locaux et des litres de pein­ture plus tard, l’ex­po­si­tion a enfin ouvert ses portes, avec un résul­tat sympa­toche et des artistes aux iden­ti­tés visuelles très riches et variées. Une expo qui vaut le coup, même si elle reste un ton en dessous de celle de l’année dernière, et qu’il semble un peu dommage de faire payer un lieu muni­ci­pal qui vient de rouvrir après 30 ans…