Décidément, Sting doit avoir une résidence secondaire aux alentours de Lyon pour venir jouer aussi souvent dans la région. Et pas seulement parce qu’il a tourné dans le Kaamelott d’Astier. Après avoir rempli les Nuits de Fourvière la Halle Tony-Garnier puis le printemps de Pérouges, l’ex-leader de The Police inaugure lui aussi l’OL Arena juste après Lomepal et Foresti, la plus grande salle de concert lyonnaise désormais.
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Sting, no matter what they say
Pour rejouer des plus grands tubes, de Roxanne à Shape of my heart, à plus de 70 ans, le British aux yeux perçants et aux muscles saillants n’a rien perdu de sa vigueur. Sting ne ment pas : il ne cherche pas à retrouver sa jeunesse, et il démontre, avec une aisance exceptionnelle sur scène mélangée à une humilité brillante, son talent d’artiste. Sting est vrai, et il est encore bien présent. « Be yourself, no matter what they say » qu’il disait. Bienvenue à l’Englishman in Lyon.
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