Déci­dé­ment, Sting doit avoir une rési­dence secon­daire aux alen­tours de Lyon pour venir jouer aussi souvent dans la région. Et pas seule­ment parce qu’il a tourné dans le Kaame­lott d’Astier. Après avoir rempli les Nuits de Four­vière la Halle Tony-Garnier puis le prin­temps de Pérouges, l’ex-leader de The Police inau­gure lui aussi l’OL Arena juste après Lome­pal et Foresti, la plus grande salle de concert lyon­naise désor­mais.

Sting au prin­temps de Pérouges (photo Martin Kiers­zen­baum)

Sting, no matter what they say

Pour rejouer des plus grands tubes, de Roxanne à Shape of my heart, à plus de 70 ans, le British aux yeux perçants et aux muscles saillants n’a rien perdu de sa vigueur. Sting ne ment pas : il ne cherche pas à retrou­ver sa jeunesse, et il démontre, avec une aisance excep­tion­nelle sur scène mélan­gée à une humi­lité brillante, son talent d’ar­tiste. Sting est vrai, et il est encore bien présent. « Be your­self, no matter what they say  » qu’il disait. Bien­ve­nue à l’En­glish­man in Lyon.

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