« C’est beau, c’est fort, c’est le Beau­fort« . Pour qu’un fromage ait autant de carac­tère, il faut bien un paysage vrai­ment excep­tion­nel. À cheval sur la Savoie et la Haute-Savoie, entre le massif de la Vanoise et celui du Mont-Blanc, le Beau­for­tain est un petit bijou préservé du tourisme de masse. Et on aime­rait bien que ça le reste. L’écri­vain alpi­niste Roger Frison Roche, n’hé­si­tait pas à décla­rer qu’il s’agis­sait même «  de la dernière vallée heureuse des Alpes  ». Alors vous en pren­drez bien un bout ?

Ski authen­tique sur 192km de pistes

Sublimes montagnes ennei­gées du Beau­for­tin.


Oubliez les grosses stations béton­nées, ici la vallée abrite de d’at­trayants petits hameaux et villages de montagne : Villard-sur-Doron, Queige, Arêches-Beau­fort et Haute­luce. Rien de tape à l’œil. Ici on mise sur l’au­then­tique. Niveau ski, on vous conseille de partir depuis les Saisies. Une station pleine de charme dont les pistes permettent de rejoindre l’Es­pace Diamant.

Là, ce sont cinq stations et 192 km de pistes avec une vue excep­tion­nelle sur le Mont-Blanc qui s’offrent à vous. Mais le Beau­for­tain, c’est aussi un haut-lieu du ski de rando avec des clas­siques comme le Quer­moz et le Mont-Rosset. 

Retour aux sources dans une montagne authen­tique

Une chambre cosy de l’hô­tel la Roche.


Et pour vivre un séjour encore plus excep­tion­nel, rendez-vous à l’Hôtel des Roches. Un établis­se­ment 4* en plein cœur du village de Beau­fort. Après deux ans de travaux, cet hôtel, construit en 1929, a retrouvé ses lettres de noblesse. Le résul­tat est à la fois moderne et chaleu­reux. On y profite d’un confort haut de gamme : spa, hammam, salon, bar. On s’échappe avec l’onc­tuo­sité et la richesse des produits locaux. Le fromage provient direc­te­ment de la Coopé­ra­tive de Beau­fort avec bien entendu notre encom­brant à artère préféré au lait cru de vache et pâte pres­sée cuite. Bref, le Beau­for­tain, c’est pas pour les pâtes molles. 


L’Hô­tel la Roche à Beau­fort (Savoie). À partir de 105 € pour une chambre double. Comp­ter 2h depuis Lyon via l’A43.

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