D’imposants ours en peluche se tiennent, à la tombée de la nuit, sous l’éclat d’un lampadaire… et de la neige. En juin, ce n’est pas banal. Ici, des femmes en robe couleur pastel esquissent des pas de danse. Ourse célèbre le beau, traque le détail qui fait mouche, les notes de musique qui consolent, le clin d’oeil loufoque à travers une suite de tableaux tantôt tendres, absurdes ou fantaisistes. Une traversée onirique qui rappelle que le beau est une affaire des plus sérieuses.