Il dynamite à tout va la bien-pensance de gauche. Au milieu de blagues sur la Shoah, David Azencot n’hésite pas à rire des attaques à la voiture bélier, ni à conseiller aux femmes voilées de porter desk-way ou encore souhaiter que des terroristes fassent irruption dans son wagon de train rempli d’enfants… Il s’en prend autant aux végétariens opportunistes qu’aux zoophiles (l’un n’empêche pas l’autre), imitant l’air de rien une galerie de personnages dont la palme revient à l’employé d’un abattoir qui trucide à tous de bras des agneaux au marteau. Si vous êtes parvenu au bout de ces lignes, vous pouvez aller le voir… en courant ! C.S.